Nos passions




                                                                            

La blonde d'Aquitaine est une race bovine allaitante de grande taille, d'une couleur unie allant selon les individus du froment au blanc crème, aux muqueuses roses.


Elle est issue de la fusion en 1962 de trois rameaux bovins du Sud-Ouest de la France.


● La Garonnaise, dont le livre généalogique fut créé en 1898, est issue des bovins élevés sur les terrasses de la vallée de la Garonne.  Divisée en sous-races locales comme la montalbanaise, l'agenaise, la créonnaise, cette race était élevée pour la production de bœufs de travail.



 La blonde du Quercy, séparée de la Garonnaise en 1922, était élevée pour la même fonction sur les pâtures plus pauvres des plateaux calcaires du Quercy et des coteaux du Bas Quercy. Moins lourde, le poil plus foncé, elle était le plus souvent d'apparence intermédiaire avec la Limousine dont elle était partiellement issue.



 La blonde des Pyrénées, localisée en montagne, au sud du bassin aquitain, était plutôt une race mixte, plus spécialisée dans la production de lait pour l'élaboration de fromages. Elle fut d'abord appelée en 1901 « race des Pyrénées à muqueuses roses », puis race des Pyrénées entre 1923 et 1929, et enfin Blonde des Pyrénées de 1951 à 1960. Dans cette race, chaque vallée avait sélectionné son type. Ainsi, il existait la blonde d'Urt, la Béarnaise, identifiée sous ce nom dès 1854 ou la Lourdaise, la plus laitière.


La Blonde d’Aquitaine est réputée pour sa docilité, sa facilité de vêlage. Le prix élevé de vente pour l'abattage et une vitesse de croissance élevée (en quantité de viande produite) ont conduit ses effectifs à plus de 569.000 têtes en 2014 en France, pour un total d'environ 2 millions de têtes dans le monde. C'est la troisième race bovine allaitante française en termes d'effectifs, prenant une place prépondérante dans tout le sud-ouest de la France et les Pays de la Loire.







Notre petit montage vidéo! 













Nous jouons au rugby depuis tout petit et avons pris goût à ce magnifique sport. Nous pratiquons le rugby à XV en club, en junior, nous avons des matches tous les week-ends. Nous participons un championnat, regroupant plusieurs poules. Nous rencontrons nos adversaires de la poule deux fois: une phase aller et une phase retour, à la fin de ces deux rencontres nous faisons les phases finale, matches qui se déroulent entre toutes les poules de chaque catégorie.

L'équipe du TNLA est bien représentée au niveau rugbystique, car nous avons 3 rugbymen aguerris parmi nous :

Evann joue à Pays Médoc Rugby (33- dans le Médoc eh oui, il n’y a pas que du vin),












Marcellin évolue dans l'entente Gascogne XV (47)

et Arnaud le pratique à l'Union Sportive Salloise (33).

Ils évoluent tous les trois en juniors dans le championnat Philiponneau.



Le rugby à XV, qui se joue par équipes de quinze joueurs sur le terrain plus les remplaçants, est la variante la plus pratiquée du rugby, famille de sports collectif. Ses spécificités, outre ses quinze joueurs, sont les mêlées et les touches, mettant aux prises deux équipes qui se disputent un ballon ovale, joué à la main et au pied. L'objectif du jeu est de marquer plus de points que l'adversaire, en marquant soit des essais, soit des buts à travers les pénalités ou des transformations, soit des drops. De nos jours, un essai vaut cinq points et sept s'il est transformé, un drop ou une pénalité réussie valent trois points.

Le rugby à quinze est originaire d’Angleterre et s'est développé à la fin du XIXème siècle dans les pays anglo-saxons (Afrique du Sud, Australie, Royaume-Unis), et en France.

Les joueurs du rugby à XV :

  • 2 Piliers gauche et droit (n°1 et 3)

  • 1 Talonneur (n°2)
  • 2 Seconde ligne (n°4 et 5)
  • 2 Troisième ligne aile (n°6 et 7)
  • 1 Troisième ligne centre (n°8)
  • 1 Demi de mêlée (n°9)
  • 1 Demi d'ouverture (n°10)
  • 2 Centre (n°12 et 13)
  • 2 Ailier (n°11 et 14)
  • 1 Arrière (n°15)



Les dictons du rugby : Un vieux dicton anglais affirme : «Le football est un sport de gentlemen pratiqué par des voyous et le rugby, un sport de voyou pratiqué par des gentlemen.». Le dicton montre l'ironie du fait qu’un jeu physiquement dur et dangereux comme le rugby est joué par des «gentlemen» polis et bien éduqués, respectueux des arbitres



Les rituels


La pratique rituelle de la troisième mi-temps par les supporters, mais aussi et surtout par les joueurs, est une véritable institution du rugby à XV, on dit qu'il n'y a pas de rugby sans troisième mi-temps.

L'équipe du TNLA






Ma passion pour la Salers 
exprimée à travers une petite vidéo


            





L'équipe TNLA





Ma passion pour la limousine







Ma passion pour la limousine s’est développée depuis 2 ans quand j’ai commencé mes stages dans cette race et son berceau.
Passionnée par la vache à viande, je le suis devenue plus particulièrement pour cette race. Je vais vous expliquer en quoi cette race de vache est merveilleuse. 

PRESENTATION : La limousine est une race bovine française originaire du Limousin comme son nom l’indique. Cette race est aujourd’hui principalement vouée à la production de viande.
Elle est réputée pour sa rusticité, ses qualités maternelles et la qualité gustative de sa viande.
ORIGINE : La limousine appartient au rameau bovin blond du Sud-Ouest. Elle est originaire de la partie occidentale du Massif central.

MORPHOLOGIE : La race bovine limousine est une race bouchère de grand format avec une robe froment vif, pas trop foncée, un peu plus claire sous le ventre, sur la face postérieure des cuisses et dans la région du périnée, de l’anus et des bourses ou du pis et de l’extrémité de la queue. 
Les muqueuses sont roses, absente de toute tâche et pigmentation.
La tête est courte, le front et le mufle larges, avec des auréoles plus claires autour des yeux et du mufle. Les cornes (lorsqu’elles sont présentes) sont fines, arquées en avant et légèrement relevées à leur extrémité.  
L’encolure est courte.
La poitrine est large et arrondie, la côte ronde.
Le bassin large, surtout au niveau des ischions, n’est pas trop incliné.
L’avant-main est bien musclée, le dessus est très large avec des muscles saillants. 
La culotte épaisse, descendue est rebondie.
Les cornes et onglons sont blonds. Les aplombs sont corrects. 


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La chasse à la palombe

La chasse à la palombe se déroule en Bazadais du 15 septembre au 15 novembre pendant la migration de cet oiseau.
A ce moment-là une véritable fièvre bleue s’empare d’une majorité d’habitants, les symptômes principaux en sont la marche le nez en l’air, le manque de sommeil, les longues heures passées à table, horaires variables… Cette maladie touche tout le monde : artisans, fonctionnaires, agriculteurs…

Cette chasse se pratique dans une Palombière (cabane et autres installations, mirador…).

Le principe de cette chasse traditionnelle est d'attirer les vols de passage et de les faire poser autour de la palombière, une fois posées, les appeler (roucouler) pour les faire descendre au sol et donc les capturer.

Cette chasse demande toute une infrastructure qui s'organise autour de la cabane : un garage, un espion, des appeaux, des tunnels, des sols (filets), cabanes à appeaux...


Espion : L'espion est utilisé pour nous signaler les vols de palombes ou les rapaces, ce rôle est souvent complété par un pigeon apprivoisé ou une palombe.
Garage : Le garage sert à abriter les voitures des chasseurs et des invités.

Tunnels ou Couloirs: les tunnels sont couverts de fougères, et de branchages. Ils permettent de se déplacer dans toute la palombière et de se rapprocher des palombes sans qu’elles nous aperçoivent. « Ne pas faire de bruit » est le leitmotiv pendant 2 mois.

 Les sols : C'est un espace au sol dégagé de toute végétation, cet espace est utilisé pour capturer les palombes si les chasseurs arrivent à les faire descendre. Il faut avoir une surface plane. Cet espace mesure en général de 8 à 10 m de longueur pour 5 à 6 mètres de large. 


Les chasseurs disposeront des grains de blé, de maïs, et un peu d'eau.

Tous les ans fin septembre, cette chasse est célébrée à Bazas pour mettre en valeur et expliquer au grand public cette chasse traditionnelle locale. Une confrérie existe également : celle des « Paloumayres ». Au cours de la fête de la palombe, des stands présentent le rituel du nourrissage, de l’installation des appeaux en toute sécurité pendant le marché, des personnalités et des chasseurs sont intronisés avant que tout le monde ne se retrouve autour d’une table.


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Ma passion pour les ânes et mulets du Poitou




Les ânes du Poitou (connus sous le nom de Baudet du Poitou), sont originaires de l’ouest de la France : Charente, Charente Maritime, Deux Sèvres, Vienne et Vendée. Les premières descriptions de cette race en France datent du Xème siècle. Ils sont facilement reconnaissables grâce à leurs poils longs.

Autrefois utilisés pour la production mulassière, ils sont devenus par la suite des ânes de travail (traction, attelage, bât), à cause de la baisse d’effectifs des traits poitevins. La race a été exportée à l’étranger jusqu’en 1950, lorsque les effectifs ont diminué.


Cette race, un moment en voie de disparition, a été croisée avec des ânesses portugaises (forte ressemblance) pour reconstituer le cheptel sans consanguinité, les Poitous.


Papyrus de l’étoile, baudet du Poitou  Lien

                                                                                           L'équipe du TNLA




Ciboulette et Passiflore, 
ânesses ONC nées en 
2007 et 2008.


Je suis passionnée par les ânes depuis 2012. Je compte en faire mon métier : travail, éducation de ces animaux-là, participation à des concours d’élevage et d’utilisation avec eux. J’aimerais élever principalement des Baudet du Poitou et des mulets Poitevins. J’ai comme projet de faire une structure, où mes animaux seront utilisés pour le tourisme, l’équitation, l’attelage et la traction.

J’ai connu les ânes lorsque mes ânesses sont arrivées à la maison en 2012, et j’ai commencé à m’y intéresser depuis ce jour-là.

J’ai éduqué Ciboulette à l’attelage et à la monte. Elle fait aussi du saut d’obstacles en liberté.

Passiflore se contente du travail à pied, parce que je ne l’ai pas encore éduquée.
Elle connaît les déplacements latéraux, d’épaules et de hanches, reculer, effectuer un tour sur elle-même et la jambette. 


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Ayant grandi dans une famille de chasseurs, j'ai toujours été attirée par la chasse et me suis intéressée davantage aux battues de gros gibiers (cervidés, sangliers...).
J'ai toujours admiré mon père pour l'obéissance et la joie que ses chiens lui apportaient. Après quelques années, j'ai obtenu mon permis et ai commencé ma propre meute. C’est à ce moment, que j'ai compris ce que mon père pouvait ressentir. 



C'est pour ceci que je souhaiterais devenir éleveuse de chiens de chasse plus précisément des chiens d'arrêt (Braque de Weimar, Pointer, Setter Anglais), mais également des chiens courants (Bruno de jura, Anglo français).
Egalement passionnée et contaminée par le virus de la chasse locale : la maladie bleue appelée également chasse à la palombe :




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